Devenez membres!
Contrairement à l’idée que s’en font nos amis qui ne nous rendent visite qu’au moment de Yom Kippour, la vie de la synagogue ne se concentre pas sur cette seule journée. La Victoire n’est pas seulement le lieu auquel on s’adresse une ou deux fois dans une vie pour organiser la bar ou la bat-mitsva des enfants ou leur mariage, dans ce cadre grandiose, avec les chœurs et l’orgue. La Victoire, comme la plupart des synagogues est un lieu vivant tous les jours de l’année :
• avec des offices quotidiens, le matin et le soir ;
• avec des activités multiples tout au long de la semaine, pour les enfants, pour les aînés ;
• avec des offices chaque chabbat et pour toutes les nombreuses fêtes du calendrier religieux, de Pessah à Chavouot, de Souccot à Simhat Torah, de Hanoucca à Pourim ;
• avec des cours destinés aux enfants pour le Talmud Tora, aux adultes qui veulent approfond N ir leur connaissance de la religion, aux ainés qui veulent se distraire ;
• avec des conférences, des voyages et des concerts ;
Toutes ces activités sont gérées comme une entreprise, d’une nature un peu spéciale certes, mais comme une entreprise quand même, avec à sa tête un rabbin et un conseil d’administration qui de manière tout à fait autonome engage :
• des salariés chargés d’une mission religieuse et liturgique, comme les officiants, les choristes et les musiciens,
• des salariés chargés de l’administration, de l’accueil, de la logistique et des travaux, de l’entretien quotidien,
• des prestataires extérieurs pour faire fonctionner les installations électriques, le chauffage, les ascenseurs, la sono, la décoration florale, les traiteurs,
Une synagogue paie son loyer et ses impôts locaux comme n’importe quelle entreprise. Elle paie des charges sociales sur les salaires versés, elle achète des livres de prières pour les offices, des manuels scolaires pour les enfants du Talmud Torah, des livres d’études pour les cours, des accessoires religieux pour toutes les occasions, des produits alimentaires et des boissons pour les Quiddouchim et les activités chabbatiques,
Une synagogue a également une vocation sociale importante auprès des familles défavorisées qui viennent demander un soutien occasionnel ou plus régulier, auprès des malades qu’il faut assister, auprès des enfants nécessiteux qu’il faut aider dans leurs études,
La Victoire est de plus la vitrine du judaïsme français et se doit d’accueillir dignement les personnalités qui nous honorent de leur visite soit à l’occasion des fêtes ou à l’occasion des cérémonies officielles de l’Etat.
Toutes ces actions représentent un budget de fonctionnement très conséquent pour la Victoire, digne d’une grosse PME ; des administrateurs et un président bénévoles en assurent la coordination et le contrôle puisque toutes les ressources sont issues de la générosité des fidèles.
Il faut absolument se retirer de l’esprit qu’une synagogue bénéficie d’une quelconque manne financière provenant de l’Etat ou de la Ville et encore moins de la Région ou d’Israël. La synagogue, la Victoire en l’occurrence ne peut compter que sur son dynamisme propre pour trouver les moyens de son propre fonctionnement et pour assurer ainsi un accueil de qualité aux fidèles qui la fréquentent.
Outre les mariages qui représentent environ 20% des recettes totales d’une année, mais en face desquelles nous supportons des dépenses équivalentes, le reste des recettes provient à 30% des réservations des places pour les fêtes et à 50% des dons accordés par les fidèles pendant les offices religieux. Or depuis 3 ans nous n’arrivons plus à équilibrer notre budget, il a en effet fallu financer le redéploiement de nos activités de jeunesse, Talmud Torah, groupes d’étudiants, lancer des travaux importants de mise en conformité technique des installations, soutenir un nombre croissant de familles en difficulté.
C’est pourquoi lors de la journée de Yom Kippour nous exhortons les fidèles présents à la synagogue :
• à payer scrupuleusement les places qu’ils occupent pour les fêtes. Même une contribution symbolique si le prix peut être trop lourd certaines années représente un vrai geste d’affection et d’encouragement pour la synagogue. Alors qu’il est pour nous presque insultant de constater que pour certains cela soit une sorte de sport d’esquiver cette contribution annuelle.
• à manifester leur soutien à notre action sociale par la Tsedaka, commandement obligatoire de Kippour à l’occasion de Yizkor. Or, les chiffres sont en baisse et nous avons été incapables, cette année de financer tous les paniers de Pessah pour les nécessiteux, ni même les téfilin et les Talith que nous offrons aux enfants de la fondation Fanny Kaplan,
• à manifester un véritable attachement à la synagogue en montant à la Torah pendant les offices et en réservant les dons en priorité pour la synagogue, ses activités de jeunesse et le Comité des Dames,
• à sponsoriser en totalité ou en partie les quiddouchs du samedi qui sont un moment privilégié de convivialité et permettent de créer un véritable sentiment communautaire,
Quant à ceux qui pensent qu’à Kippour seuls les plus fortunés de la communauté sont honorés par ces mitsvot, nous les asssurons qu’il n’en est rien, et que tous vous peuvent faire savoir à notre huissier que vous souhaitez apporter votre pierre à notre édifice. Il n’y a pas de don modeste, chacun est égal dans ce contrat que nous renouvelons chaque année à Kippour devant l’Eternel.
Contrairement aux apparences trop ancrées dans certains esprits, cette synagogue ne fonctionne pas de l’air du temps, ne reçoit aucune manne, ni aucune subvention d’aucune sorte ; par contre, les dons seront déductibles fiscalement à hauteur de 66%.
MERCI POUR LA SYNAGOGUE
DONC MERCI POUR VOUS TOUS ET A VOUS TOUS
Pour devenir membre, merci de contacter le secrétariat au
01 45 26 95 36
infos@lavictoire.org
• avec des offices quotidiens, le matin et le soir ;
• avec des activités multiples tout au long de la semaine, pour les enfants, pour les aînés ;
• avec des offices chaque chabbat et pour toutes les nombreuses fêtes du calendrier religieux, de Pessah à Chavouot, de Souccot à Simhat Torah, de Hanoucca à Pourim ;
• avec des cours destinés aux enfants pour le Talmud Tora, aux adultes qui veulent approfond N ir leur connaissance de la religion, aux ainés qui veulent se distraire ;
• avec des conférences, des voyages et des concerts ;
Toutes ces activités sont gérées comme une entreprise, d’une nature un peu spéciale certes, mais comme une entreprise quand même, avec à sa tête un rabbin et un conseil d’administration qui de manière tout à fait autonome engage :
• des salariés chargés d’une mission religieuse et liturgique, comme les officiants, les choristes et les musiciens,
• des salariés chargés de l’administration, de l’accueil, de la logistique et des travaux, de l’entretien quotidien,
• des prestataires extérieurs pour faire fonctionner les installations électriques, le chauffage, les ascenseurs, la sono, la décoration florale, les traiteurs,
Une synagogue paie son loyer et ses impôts locaux comme n’importe quelle entreprise. Elle paie des charges sociales sur les salaires versés, elle achète des livres de prières pour les offices, des manuels scolaires pour les enfants du Talmud Torah, des livres d’études pour les cours, des accessoires religieux pour toutes les occasions, des produits alimentaires et des boissons pour les Quiddouchim et les activités chabbatiques,
Une synagogue a également une vocation sociale importante auprès des familles défavorisées qui viennent demander un soutien occasionnel ou plus régulier, auprès des malades qu’il faut assister, auprès des enfants nécessiteux qu’il faut aider dans leurs études,
La Victoire est de plus la vitrine du judaïsme français et se doit d’accueillir dignement les personnalités qui nous honorent de leur visite soit à l’occasion des fêtes ou à l’occasion des cérémonies officielles de l’Etat.
Toutes ces actions représentent un budget de fonctionnement très conséquent pour la Victoire, digne d’une grosse PME ; des administrateurs et un président bénévoles en assurent la coordination et le contrôle puisque toutes les ressources sont issues de la générosité des fidèles.
Il faut absolument se retirer de l’esprit qu’une synagogue bénéficie d’une quelconque manne financière provenant de l’Etat ou de la Ville et encore moins de la Région ou d’Israël. La synagogue, la Victoire en l’occurrence ne peut compter que sur son dynamisme propre pour trouver les moyens de son propre fonctionnement et pour assurer ainsi un accueil de qualité aux fidèles qui la fréquentent.
Outre les mariages qui représentent environ 20% des recettes totales d’une année, mais en face desquelles nous supportons des dépenses équivalentes, le reste des recettes provient à 30% des réservations des places pour les fêtes et à 50% des dons accordés par les fidèles pendant les offices religieux. Or depuis 3 ans nous n’arrivons plus à équilibrer notre budget, il a en effet fallu financer le redéploiement de nos activités de jeunesse, Talmud Torah, groupes d’étudiants, lancer des travaux importants de mise en conformité technique des installations, soutenir un nombre croissant de familles en difficulté.
C’est pourquoi lors de la journée de Yom Kippour nous exhortons les fidèles présents à la synagogue :
• à payer scrupuleusement les places qu’ils occupent pour les fêtes. Même une contribution symbolique si le prix peut être trop lourd certaines années représente un vrai geste d’affection et d’encouragement pour la synagogue. Alors qu’il est pour nous presque insultant de constater que pour certains cela soit une sorte de sport d’esquiver cette contribution annuelle.
• à manifester leur soutien à notre action sociale par la Tsedaka, commandement obligatoire de Kippour à l’occasion de Yizkor. Or, les chiffres sont en baisse et nous avons été incapables, cette année de financer tous les paniers de Pessah pour les nécessiteux, ni même les téfilin et les Talith que nous offrons aux enfants de la fondation Fanny Kaplan,
• à manifester un véritable attachement à la synagogue en montant à la Torah pendant les offices et en réservant les dons en priorité pour la synagogue, ses activités de jeunesse et le Comité des Dames,
• à sponsoriser en totalité ou en partie les quiddouchs du samedi qui sont un moment privilégié de convivialité et permettent de créer un véritable sentiment communautaire,
Quant à ceux qui pensent qu’à Kippour seuls les plus fortunés de la communauté sont honorés par ces mitsvot, nous les asssurons qu’il n’en est rien, et que tous vous peuvent faire savoir à notre huissier que vous souhaitez apporter votre pierre à notre édifice. Il n’y a pas de don modeste, chacun est égal dans ce contrat que nous renouvelons chaque année à Kippour devant l’Eternel.
Contrairement aux apparences trop ancrées dans certains esprits, cette synagogue ne fonctionne pas de l’air du temps, ne reçoit aucune manne, ni aucune subvention d’aucune sorte ; par contre, les dons seront déductibles fiscalement à hauteur de 66%.
MERCI POUR LA SYNAGOGUE
DONC MERCI POUR VOUS TOUS ET A VOUS TOUS
Pour devenir membre, merci de contacter le secrétariat au
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